Académie Nationale de Metz - Sciences Arts Lettres

L'UTILE - devise de l'Académie depuis 1760

Agenda des Académiciens

Mise en ligne le 29-03-2022

3 mars 2022

Séance mensuelle du 3 mars

SEANCE MENSUELLE du 3 MARS 2022

Communications  de la séance du 3 mars 

 

 

 

 


 M. Gabriel Normand, membre titulaire


Être chanoine de la cathédrale de Metz.


Le terme « Chanoine » reste bien mystérieux pour la plupart de nos contemporains, même si on en a quelque peu parlé, peut-être ironiquement, quand le président de la République a été installé comme chanoine d’honneur de la basilique Saint-Jean-de-Latran à Rome.


Les membres du clergé qui portent ce titre étaient bien plus nombreux sous l’Ancien Régime et même jusqu’au milieu du XXème siècle, période où l’on a commencé à déprécier les titres honorifiques dans l’Église.


Mais quelle est donc la fonction attachée à l’appellation de « chanoine titulaire », membre du Chapitre cathédral ? Cette communication va essayer d’apporter quelques éclairages en présentant l’expérience d’un chanoine titulaire de la cathédrale de Metz.

 


−−


  M. Marie-Bernard Diligent, membre titulaire


Que sont devenus la psychiatrie clinique

et les soins aux malades en 50 ans ? 

 

L'offre de soins psychiques est considérée comme illisible en France. On ne sait quel professionnel consulter. Aux psychiatres, se sont ajoutés psychologues, psychothérapeutes et psychanalistes, dont la loi a dû récemment définir les statuts. Est-ce pour autant aussi clair ?

De quelle prise en charge s'agit-il ?

Dans les années 1960, il y avait deux voies d'entrée : des médecins neuropsychiatres et des médecins aliénistes. Puis la discipline psychiatrique devint autonome, elle n'en reste pas moins une discipline médicale, ce qu'on a appelé de tout temps  "l'Art médical", étant de nos jours la psychologie inter-relationnelle du couple médecin-malade.

Le 1er temps est le diagnostic clinique soit par référence à des nosographies, soit par de nouvelles méthodologies CIM 11 (classification internationale des maladies , version 11) et DSM 5 ( Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux , version 5), posant de multiples problèmes.

Le 2e temps est celui de la prise en charge et de la thérapeutique. Cinquante ans de découvertes dues aux progrès majeurs des sciences neurochimiques et neurobiologiques. Dans le même temps une forte évolution des pratiques psychothérapiques. Quelles sont les meilleurs types de prise en charge ?

Une nouvelle dimension de cette prise en charge est l'implication du malade et de sa famille avec l'éducation thérapeutique et le développement associatif.

Bref, une psychiatrie en puzzle, face à des demandes multiples et différentes qui en rendent l'accès aléatoire et illisible au moment où les questions de santé mentale font la "une" de l'actualité

 


Mise en ligne le 29-03-2022

3 février 2022

séance mensuelle du 3 février 2022 annulée

SEANCE mensuelle 3 février 2022

 

  

La situation sanitaire actuelle nous oblige à regret

d'annuler la séance mensuelle programmée le 3 février 2022.


Mise en ligne le 04-02-2022

6 et 13 janvier 2022

séance mensuelle de janvier 2022

SEANCE MENSUELLE jeudi 13 janvier 2022

 

La séance mensuelle programmée le jeudi 6 janvier 2022

  avait dejà été reportée au jeudi 13 janvier.


La situation sanitaire actuelle nous oblige à regret

d'annuler cette 1ère seance de l'année 2022.


Mise en ligne le 18-01-2022

2 décembre 2021

Séance mensuelle jeudi 2 décembre

SEANCE MENSUELLE jeudi 2 décembre 2021

Ordre du jour de la séance du 2 décembre :

 

 Communication de M. Jacques Sicherman, membre titulaire

 

 

 

Service public, gestion privée

 contradiction dans les termes ou partenariat idéal ?

 

 

Beaucoup de nos concitoyens sont persuadés que les services publics doivent, sauf inconvénients majeurs, être gérés par la collectivité avec ses propres moyens ou des structures qui lui appartiennent.

Or jusqu’à une époque récente, il paraissait au contraire naturel de confier ces services, sous le contrôle des autorités publiques, à des entreprises privées : canaux, alimentation en eau, chemin de fer, rien de tout cela n’aurait vu le jour sans des initiatives privées.

D’où vient alors que, à l’encontre de la philosophie affirmée par les autorités révolutionnaires, l’idée s’est fait jour chez certains que la gestion privée de services publics serait à éviter ? Idéologie, manque de confiance dans la capacité de la collectivité à exercer réellement le contrôle absolument indispensable ?

Le constat, aujourd'hui est plutôt celui d’un grand pragmatisme des élus dans le choix du mode de gestion des services, la plupart du temps sans grand rapport avec leur appartenance partisane.


Mise en ligne le 30-11-2021

4 novembre 2021

Séance mensuelle du 4 novembre 2021

SEANCE MENSUELLE du 4 novembre 2021

Séance mensuelle du jeudi 4 novembre 2021


Ordre du jour


Communications de :

 

M. Robert Wennig, membre correspondant

 

 Si l’histoire de la chimie m’était contée

par timbres-poste.

 

 

Regards sur l’histoire de la chimie de l’Antiquité à nos jours, illustrés par du matériel philatélique (timbres-poste, enveloppes, entêtes d’institutions scientifiques et académiques,…).

Reférence en partie à l’exposé de notre confrère Jean-François Muller du 7 octobre 2021, en ce qui concerne la chimie-physique, mais complété par les domaines de la chimie minérale, de la chimie organique, de la chimie analytique et de la biochimie, en présentant succinctement les personnages célèbres et représentatifs de leur spécialité et leurs travaux les plus importants.

 

 

M. Jean-Marie Says,membre correspondant

 

Les sous-marins du Général (1965-1970).

 

Élu président de la toute nouvelle Ve République le 21 décembre 1958, le général de Gaulle devenait aussi chef des Armées. En pleine Guerre froide, les physiciens français lui firent un cadeau secret : la bombe atomique, dont une première explosion intervint le 13 février 1960 à Reggane, dans le Sahara algérien.

Le chef de l’État considéra la bombe atomique comme un outil de l’indépendance nationale et un moyen d’assoir sa posture diplomatique. La création d’une force de frappe française nécessitait de disposer de moyens de lancement de cette nouvelle arme.

Spécialiste des blindés, le général jeta d’abord son dévolu sur l’aviation avec les Mirage IV. Mais la dissuasion nucléaire, dont se prévalaient les Américains et les Soviétiques, relevait d’une autre stratégie en cas de conflit Est-Ouest : les sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE).

Le général lança alors le Projet Coelaphante, toujours en application aujourd’hui.



 

 

Académie nationale de Metz - 20 en Nexirue - 57000 Metz - Tél. 0387752973 / Fax 0387755635 - academiemetz@numericable.com

© Académie nationale de Metz - 2011 - Tous droits réservés

Conception et réalisation Bialec